Archive for août 2011

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Sherlock Holmes Etude en rouge, Conan Doyle

août 29, 2011

 Quatrième de couverture : Au n° 3 de Lauriston Gardens près de Londres, dans une maison vide, un homme est trouvé mort. Assassiné ? Aucune blessure apparente ne permet de le dire, en dépit des taches de sang qui maculent la pièce. Sur le mur, griffonnée à la hâte, une inscription :  » Rache ! « . Vengeance ! Vingt ans plus tôt, en 1860, dans les gorges de la Nevada, Jean Ferrier est exécuté par des mormons sanguinaires chargés de faire respecter la loi du prophète. Sa fille, Lucie, est séquestrée dans le harem du fils de l’Ancien. Quel lien entre ces deux événements auss
insolites que tragiques ? Un fil ténu, un fil rouge que seul Sherlock Holmes est capable de dérouler. Une intrigue toute en subtilités où, pour la première fois, Watson découvre le maître…

Mon avis : pouah, quel livre infâme. Pourquoi tout le monde s’arrache Monsieur Sherlock Holmes, alors que moi je ne lui trouve aucun intérêt.  La preuve en est qu’à la fin je dormais à moitié sur le bouquin, tournant les pages et priant que ça se termine vite. Watson est chiant à mourir. Holmes est farfelue certes, c’est un personnage qui pourrait être intéressan certes, mais mince qu’est ce qu’il est insipide et imbuvable dans les bouquins.
Heureusement que Guy Ritchie a fait un super film sur lui. Heureusement que Moffat a fait une série géniale à son tour. C’est les seuls raisons qui me font aimer Sherlock Holmes. C’est tout.

3 raisons de le lire :
– Si comme moi vous voulez voir la différence et les points communs avec l’étude en rose, premier épisode de Sherlock
– Si vous aimez Sherlock Holmes évidemment.
– Euh… pff… Si le seul livre que vous avez à lire à côté est « vipère au poing ». Parce que bon, celui ci n’est pas pire.

3 raisons de ne pas le lire :
– Chiant à mourir.
– Chiant à crever.
– ZZZZzzzzz *se réveille* hein quoi? Quel livre?

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La maison des périls, Richard Stevenson

août 26, 2011

 Quatrième de couverture : Albany n’est déjà pas une ville très marrante, mais c’est un véritable enfer pour la communauté des homos. Et moi, un privé, qui fais partie de la confrérie, pensez ! Et pourtant, comme le dit un fervent défenseur de notre cause, si on déclenchait la grève générale des gays, la vie du pays serait à coup sûr presque totalement paralysée.

Avis : pfff… Je sais pas. Honnêtement, j’aurais sûrement adoré si je n’avais pas vu les films, mais là c’est trop embrouillé, trop différent, trop…
J’ai bien rigolé tout de même, et j’idolatre Timmy. Mais les films sont mieux. C’est tout.

Les raisons de le lire ou de ne pas le lire sont à peu près les mêmes que le premier.

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Les damnés du bitume, Richard Stevenson

août 23, 2011

 Résumé : C’étaient des parents bon chic bon genre, ils me demandaient de retrouver leur fils accusé de meurtre. Et homo de surcroît. Ça tombait bien, je l’étais aussi. Le tintouin, ce fut d’enquêter dans ce milieu maudit, malheureux, révolté où la folie amoureuse attend ses proies, sournoisement aidée par la démence des gens dits normaux.

Avis : Tout d’abord mon avis sur le livre en lui même : c’est un polar, un bon polar, qui nous entraines on ne sait pas toujours où, et Donald ne dis pas toujours tout, c’est donc un bon polar avec du suspens. L’enquête est bonne, la manière dont elle se déroule est pas mal, et la manière dont elle se résoud est bien. Bref, j’ai bien aimé. Le fait qu’en plus ça traite du monde gay, et de leur problème, de leur façon de vivre et de comment ça se passe en Albany est intéressant.
Les détectives privés gays ne courent pas les rues.

Maintenant mon avis sur le livre, vis à vis des films : l’avantage des films c’est qu’ils ont su retranscrire une émotion qui manque peut-être dans le livre. Le Don/Tim est vachement mieux exploité dans les films, et reste peut-être trop au dessus de la surface dans les bouquins. Bref, il me semble qu’à ce sujet surtout, j’ai préféré les films.

3 raisons de le lire :
– Bon polar avec une enquête intéressante
– Un détective bien sympa, avec de l’humour et qui se laisse pas marcher sur les pieds
– Si comme moi, vous êtes super fan des trucs gays.

3 raisons de ne même pas essayer de le chercher (car il est pas si facile à trouver) :
– Si vous le voulez pour le Don/Tim (raison qui m’a fait l’acheter)
– Si vous êtes homophobes (évidemment)
– Si vous ne supportez pas les connards de parents qui font internés leur fils et qui considèrent l’homosexualité comme une maladie. Parce que là vous allez être servi.

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Les Visages, Jesse Kellerman

août 19, 2011

 Résumé : Lorsque Ethan Muller, propriétaire d’une galerie, met la main sur une série de dessins d’une qualité exceptionnelle, il sait qu’il va enfin pouvoir se faire un nom dans l’univers impitoyable des marchands d’art. Leur mystérieux auteur, Victor Crack, a disparu corps et âme, après avoir vécu reclus près de quarante ans à New York dans un appartement miteux. Dès que les dessins sont rendus publics, la critique est unanime : c’est le travail d’un génie. La mécanique se dérègle le jour où un flic à la retraite reconnaît sur certains portraits les visages d’enfants victimes, des années plus tôt, d’un mystérieux tueur en série. Ethan se lance alors dans une enquête qui va bien vite virer à l’obsession. C’est le début d’une spirale infernale à l’intensité dramatique et au coup de théâtre final dignes des plus grands thrillers.

Avis : c’est marrant parce que je trouve la couverture flippante, dérangeante. Le livre moins. Il est cependant vraiment très accrocheur, du début à la fin. J’ai même envie de dire que plus ça va, plus c’est bien. On vit deux histoires en parallèle, en attendant la recoupe finale, le moment où enfin on va savoir, comprendre, être sûr. On est baladé, et puis par moment on se moque de vous.
Vous êtes persuadé d’une chose pour qu’on vous dises que vous vous trompiez. Ou inversement.
C’était juste géniale, et tout relié. Et la fin m’a presque foutu les larmes aux yeux. J’ai aimé que ça ne se termine pas super bien comme si « voilà la vie a super mal commencé et la fin sera heureuse pour longtemps », mon cul ouais. J’ai aimé que ça ne se termine pas super mal. J’ai aimé que ça ait l’air vrai, avec ou sans amour, avec ou sans changement. Que ça soit juste comme ça, comme nous on pourrait le vivre, pas une espèce de fée chanceuse.
J’ai adoré !

3 raisons de le lire :
– C’est génial ! (Quelle bonne raison n’est ce pas?)
– C’est surprenant !
– C’est pleins de suspens.

3 raisons de ne pas le lire :
– ça peut vraiment dégoûter de l’art, ou du moins des millions qui sont dépensés dans des tableaux pour des artistes.
– ça peut vraiment dégoûter de l’argent
– et puis ce n’est pas une histoire d’amour, ou presque pas, ou juste un peu. Mais en même temps vous ne vous attendiez pas à ça en achetant ce bouquin, non?

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Crocs ! Confessions de la copine d’un vampire, Katie Maxwell

août 18, 2011

 Résumé : J’ai hésité quelques secondes plutôt que de prendre le large, l’ai regardé se rouler au sol en se massant l’aine, visiblement atteint d’une douleur mais se gardant bien de prononcer une seule parole. Il était tout ce qu’il y a de plus silencieux. Le seul autre type à qui j’avais assené un coup de genou dans le bas-ventre (le premier et le seul avec qui j’ai eu un rendez-vous amoureux) m’avait lancé des obscénités après avoir reçu le coup, mais pas Bénédict. La culpabilité s’empara de moi alors que je l’observais, la culpabilité et une envie irrépressible de pouffer de rire. Pas de Bénédict, mais de moi, de mon existence. J’ai toujours souhaité me fondre dans mon milieu, être semblable aux autres, ne pas être celle qui se démarque, qui est différente des autres enfants, et que se passe-t-il? Je fais la connaissance d’un vampire qui m’avoue que je suis la seule qui puisse racheter son âme. Je parie que c’est le genre de chose qui arrive à toutes les filles qui parcourent l’Europe.

Avis : littérature jeunesse ET bit-litt. Si je n’ai rien à reprocher au premier, le deuxième me saoule de plus en plus, POURQUOI les vampires? Pourquoi pas les monstres vaseux et poilues des marécages? Pourquoi une histoire d’amour avec un type qui bouffe du sang?
Tant de questions qu’Hamlet aurait lui aussi pu se poser (ou pas).
Cependant pour ne pas être totalement méchante, il n’est pas si mal, il se lit vite, et les personnages ne sont pas chiants. Pas trop.

3 raisons de le lire :
– si vous avez rien d’autre à faire
– il est court alors si vous attendez de recevoir un autre livre, celui là est pas trop mal en attendant (je dis ça parce que c’est la raison pour laquelle je l’ai lu)
– si vous aimez les histoires de vampires, évidemment.

3 raisons de l’éviter :
– si comme moi, vous en avez marre des vampires
– si vous avez autre chose à lire (sauf si l’autre chose est « journal d’un vampire », car dans ce cas lisez plutôt crocs ! il est beaucoup moins nul)
– si vous devez aller promener votre chien, faire vos devoirs, la vaisselle, le ménage, repeindre la cuisine, coller vos posters, écrire une lettre à votre mamie, etc.

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Novecento : pianiste, Alessandro Baricco

août 18, 2011

 Résumé : Né lors d’une traversée, Novecento, à trente ans, n’a jamais mis le pied à terre. Naviguant sans répit sur l’Atlantique, il passe sa vie les mains posées sur les quatre-vingt-huit touches noires et blanches d’un piano, à composer une musique étrange et magnifique, qui n’appartient qu’à lui: la musique de l’Océan dont l’écho se répand dans tous les ports.

Sous la forme d’un monologue poétique, Baricco allie l’enchantement de la fable aux métaphores vertigineuses.

Avis : je vais avoir l’avis le plus court de l’histoire là, ce livre est sublime, on l’écoute plus qu’on ne le lit, et ça donne très envie de le voir en pièce.

3 raisons de le lire :
– Le piano
– L’histoire
– Les personnages
– Ca se lit en une heure, même moins (je sais ça fait 4 raisons là)

3 raisons de ne pas le lire :
– encore une bonne raison de faire gagner des sous à Kleenex !
– si t’aime pas le piano
– si t’aime pas les bâteaux, et encore.

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Des âmes noires, Anne Perry

août 17, 2011

 Résumé : Hester Latterly est engagée par une riche famille écossaise pour accompagner une vieille dame à Londres. Son unique consigne ? Lui faire avaler son remède pour le cour, qu’elle a fragile. Dans le train, Hester se lie d’amitié avec sa patiente, lui administre le médicament puis s’endort. A son réveil, la vieille dame a rendu l’âme. L’autopsie révèle qu’il s’agit d’un empoisonnement, et Hester, accusée du meurtre, est emprisonnée. Tous les amis de la jeune femme se mobilisent : Monk part pour Edimbourg afin d’y mener enquête avec le soutien de Rathbone, d’Hester et de Callandra. Ensemble, ils finiront par découvrir la vérité… et bien plus encore.

Avis : démarrage assez long, mais ça valait le coup de tenir et de continuer. Une enquête alléchante,  des personnages à la langue bien pendue et au caractère trempé (notamment Hester et Monk (et j’adore Monk !)). Jusqu’au dernier moment on ignore tous les dessous de l’histoire. On a bien une petite idée de ce qui se trame, mais franchement il y a pas mal de direction, et pas toujours bonnes =D !
On suit la famille de Mary (la victime) et on comprends au fur à mesure qu’ils ont tous quelque chose à cacher et que tout n’est pas forcément très net.
Et jusqu’au bout on est tenu en haleine et c’est super.
J’adore également la relation entre Hester et Monk.
Et ce livre me donne envie d’en lire d’autres, surtout sur Monk. Dans l’ordre, cette fois-ci.

3 raisons de le lire :
– Monk est un personnage vraiment bien 😀 (enfin colérique et sarcastique, mais bon il m’a plu immédiatement)
– L’histoire tiens en haleine jusqu’au bout.
– Il est long (478p.), mais se lit à une vitesse affolante.

3 raisons d’aller voir ailleurs :
– Le début le plus chiant du monde.
– La justice est vraiment injuste … Et les gens sont royalement cons !
– Ne pas commencer par celui là (grave erreur que j’ai fais là) mais plutôt par le premier des affaires de Monk.

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Le songe d’une nuit d’été, William Shakespeare

août 15, 2011

 Résumé : C’est une histoire complexe dont l’action se déroule en Grèce et réunit deux couples de jeunes amants, Lysandre, Demetrius, Hélène et Hermia. Hermia veut se marier à Lysandre, mais son père, Egée, veut qu’elle se marie à Demetrius, dont est amoureuse Hélèna. Lysandre et Hermia s’enfuient dans la forêt, poursuivis par Demetrius, qui est lui-même poursuivi par Hélène. Pendant ce temps-là, Oberon, roi des fées, a ordonné à Puck de verser une potion sur les lèvres de sa femme, Titania. Il entre dans la forêt avec Puck. Pendant la nuit, la confusion règne. La scène la plus connue est l’apparition de Bottom, qui porte une tête d’âne, avec Titania, qui par la magie de Puck en est tombée amoureuse. (source : Evene) 

Avis : je ne peux pas donner un avis très précis de ce livre puisque je ne l’ai lu que pour une et une seule raison: le film Were the World Mine.
Film musicale (et gay) qui réadapte à sa manière cette pièce, et quelle manière, je ne me lasse pas de le voir et de le revoir.
Quand au livre? Et bien il était intéressant, parce que j’ai pu m’amuser à retrouver les dialogues du films, les paroles, et ce qui était puisé pour les chansons. Ca m’a permis de voir que le film était très intelligent et donc forcément que j’ai apprécié lire le livre.
S’il avait fallu que je le lise pour une autre raison, l’aurais-je autant apprécié? Je ne sais pas. Les dialogues m’ont parfois fait beaucoup rire tant ils sont « niais » ou ridicules. Il est évident que c’est fait par moment exprès, bien sûr, mais bon.
Je ne vois guère l’intérêt de la pièce Pyrame et Tishbé, si ce n’est le passage où la reine des Fées tombe amoureuse de Bottom avec sa tête d’âne.

3 raisons de le lire :
– après (ou avant?) avoir vu Were the World Mine
– si vous aimez Shakespeare, ou le théatre
– Ca se lit hyper vite, et c’est intéressant à lire si on va voir la pièce (ou a vu) (et peut-être aussi pour l’humour)

3 raisons de ne pas le lire :
– si comme moi, vous n’aimez pas Shakespeare
– le théatre c’est toujours plus intéressant de le voir ou de le jouer que de le lire
– le dernier acte sert pas à grand chose. (Si ce n’est une mise en abyme, une pièce dans une pièce)

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Le passage, Louis Sachar

août 14, 2011

 Quatrième de couverture : Méfiez-vous. Ce livre va vous donner envie de croquer des oignons crus. De creuser des trous de 1 mètre 50 de diamètre et de profondeur. D’escalader une montagne. De respirer vos vieilles baskets. De mettre du rouge à lèvres avant de partir à la poursuite de vos ennemis. De tout savoir sur l’existence oubliée de votre arrière-arrière-arrière-grand-mère. Et ce, même si vous haïssez les liliacées, même si vous détestez l’alpinisme et les travaux forcés, même si vous avez les cosmétiques en horreur autant que les odeurs de pieds, et même si la généalogie et les histoires de famille vous indifférent profondément. Maintenant, pour échapper à tout cela, c’est simple. Il vous suffit de ne pas imiter les centaines de milliers d’adolescents américains qui ont déjà plébiscité ce livre, et de ne jamais l’ouvrir.

Avis : Comment dire? Je suis restée une heure et demi dans le bain à cause de ce livre, parce que je ne voulais pas en décrocher, parce que je ne voulais pas en sortir, même pour une minute. Chaque fois je me disais « allez encore un chapitre et j’arrête », chaque fois je passais au chapitre suivant.
Ca se dévore, tomber dedans c’est tomber dans un piège et ne pas pouvoir en sortir tant qu’on aura pas lu les derniers mots du livre.
L’histoire ne pas donné envie de creuser des trous, mais j’ai eu parfois l’impression d’étouffer, d’avoir chaud, et de sentir mauvais, comme les personnages. J’étais avec eux, ou j’étais eux, j’étais dans cette histoire où tout est relié, les histoires anciennes et celle de maintenant. Les personnages sont attachants, adorables, mignons, ou alors insupportables, désagréables et détestables, mais important.
On rigole, on retient sa respiration, on grogne et on espère.

3 raisons de le lire :
– Le style d’écriture très agréable
– Les personnages de Stanley et Zéro
– L’histoire et la manière dont tout est lié.

3 raisons de ne pas le lire :
– Dur d’en sortir une fois plongé dedans
– Si on avait prévu autre chose, car il faut s’en séparer
– A la fin on en veut encore.

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Entre chiens et loups, Malorie Blackman

août 13, 2011

 Résumé : Imaginez un nouveau monde. Un monde où tout ce qui est noir (les primas ) est riche,puissant et dominant. Où tout ce qui est blanc (les Nihils) est pauvre, opprimé et méprisé. Callum et Séphy vivent dans ce monde, ils s’aiment, mais elle est noire et lui blanc. Le père de Sephy est ministre alors que celui de Callum appartient à un réseau terroriste. Ils veulent changer ce monde mais comment ? La tache n’est pas facile que l’on soit blanc ou noir…

Avis : la difficulté que j’ai eu pour rentrer dans ce livre est à peu près proportionnelle à la difficulté ensuite que j’ai eu à en sortir. Donc bon rattrapage.
C’est l’écriture un peu gamine qui m’a déstabilisé au début, je sais pas, j’accrochais pas. Puis petit à petit, j’ai été charmé, pas par l’écriture, mais par l’histoire. C’était prenant, et horrible, dur, fou. Remplis de haine. Et parfois d’amour. Où les sentiments sont si forts qu’on a l’impression qu’ils vous éclatent à la figure.
Parfois on voudrait rentrer dans le livre et les gifler, les secouer, mais on sait qu’on peut rien faire, qu’il n’y a rien à faire. Et puis on fait le rapprochement avec notre monde, avec ce qu’on entends, avec du vécu, avec l’Histoire.
Et on se dit que c’est dingue, complètement dingue, pourquoi juger, pourquoi haïr, que ce soit d’un côté ou de l’autre, c’est toute cette haine au final qui apporte le malheur.
C’est un livre tellement dur, que je ne sais pas si j’aurai le courage de lire la suite, qui ne s’annonce guère plus joyeuse.

3 raisons de lire ce livre :
– c’est plutôt « réaliste », on s’y croirait. Les personnages sont vrais.
– c’est une histoire très forte, très dure, très belle et très triste.
– pour l’amour qu’on trouve parfois, les moments de calme, de paix.

3 raisons de ne pas le lire :
– l’écriture trop gamine
– Jude, qui est un personne des plus insuportables !
– c’est vraiment une histoire très dur, à ne pas lire quand on est hyper sensible (disait celle qui pleurait pour rien).